| ATTENTION : Ce document est restreint au personnel travaillant sur le projet ***********. |
Les premiers spécimens ont été observés lors des premières intrusions interdimensionnelles consécutives à l’incident du ********. Les entités sont apparues en groupe dans plusieurs secteurs du complexe, principalement dans les zones de transit et laboratoires ouverts.
Leur comportement grégaire et leur apparence étrange ont immédiatement attiré l’attention des équipes de sécurité et du personnel scientifique.
Taille : environ 80 à 90 cm de hauteur.
Apparence : quadrupède, corps trapu, recouvert d’une peau jaunâtre à brunâtre.
Tête : absence d’yeux visibles. La partie frontale est occupée par un unique orifice pulsatile, émettant une luminescence intermittente.
Oreilles/organes sensoriels : hypertrophiés, semblant former une structure radiale.
Appareil buccal : vestigial ou inexistant – les spécimens observés ne semblent pas se nourrir de manière conventionnelle.
Ils se déplacent en meutes de 1 à 5 individus.
Leur attaque principale consiste à émettre une onde de choc sonique. L’onde est produite par résonance interne et cause :
Désorientation
Lésions auditives
Rupture capillaire et dommages aux tissus mous sur des organismes vivants
Microfissures sur certains matériaux fragiles.
Bien que agressifs, ils manifestent parfois des comportements de "jeu" au sein de leur groupe, laissant penser à une organisation sociale primitive.
| Espèce N°2 | Images |
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Morphologie : semblable au spécimen standard, mais avec une teinte cutanée plus sombre et une luminescence interne instable, visible par pulsations à travers sa peau. Capacité anormale : lorsqu’il est gravement blessé ou acculé, l’organisme déclenche une réaction auto-destructrice entraînant : une déflagration sonique et thermique dans un rayon de 5 à 7 mètres ; fragmentation interne projetée à haute vitesse (tissus calcifiés agissant comme shrapnel). Effets : destruction immédiate des cibles proches, endommagement des structures fragiles. Hypothèse : cette adaptation pourrait être une méthode xénienne de protection de la meute, voire un mécanisme évolutif de reproduction par dispersion cellulaire. Menace : élevée, nécessitant élimination à distance. Attention : Un composant chimique a étais retrouvé sur cette espèces, de la NITROGLYCÉRINE. [NITRO-GLYCÉRINE, subst. fém. CHIM. Trinitrate de glycérine (de formule C3H5O3(NO2)3)] Manipulé cette espèce avec précautions. Dr. ***** |
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| Espèce N°2 | Images |
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Morphologie : légèrement plus massif que le standard, muscles hypertrophiés au niveau des pattes antérieures. Capacité anormale : en lieu et place d’une onde sonique concentrée, ce spécimen génère une onde de choc cinétique qui provoque : projection violente des cibles dans un cône frontal (jusqu’à 3-5 mètres) ; perte d’équilibre, fractures dues à l’impact. Comportement : plus agressif, tendance à charger après avoir repoussé ses adversaires. Hypothèse : mutation défensive ou rôle de "tank" dans les meutes, destiné à briser les lignes ennemies. Menace : forte en espace clos ; modérée en terrain ouvert. |
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¶ Résumé de l’Analyse :Manque d'information ¶ Composition Moléculaire (spectrométrie de masse)Manque d'information
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