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Centre de recherche de Black Mesa France  ¶ LocalisationRoussillon, France, Terre ¶ ConstructeurArmand Le Corbeausier ¶ Construction1992-1994 ¶ Source |
¶ Black Mesa French Facility - Complexe 04
Le centre de recherche de Black Mesa French Facility (en) (Français : Black Mesa centre de recherches), souvent raccourci en BMFF ─ se situe dans dans la zone du sentier des Ocres, dans la commune de Roussillon dans le département du Vaucluse. Il porte le nom de Complexe 04, faisant référence au quatrième complexe construit par la firme américaine. En effet, après la destruction partielle du Site 05 du Complexe 02 (situé en Corse), la branche française décida la construction d'un second centre en France, afin de palier à tout autres éventuel incident majeur.
¶ Aperçu général
¶ Recherches et infrastructures
Le complexe est bâti au cœur même du sentier des ocres, site stratégique, à même l'ancienne carrière ce trouvant à l'intérieur, l'ensemble du complexe est interdit au visiteur, mais des sentiers pédestres reste ouvert au publique, appartenant toujours aux autorités locales.
Beaucoup de travaux entrepris dans ce centre font partie de domaine poussé comme avec la création d'un pôle aéronautique important, notamment pour le décollage de fusée.
Le complexe 04 est également le créateur de l'ASM, sa première grosse invention dans le monde scientifique après son ouverture. Le projet le plus notable du complexe 04 est l'HAPAM > Analyseur de particule d'anti-matière par hyper-accélérateur nouvelle génération
Pour le bien-être du personnel, le complexe 04 propose des infrastructures qui leur sont dédiées, telles qu'un restaurant, des chambres, une infirmerie à la pointe, un service informatique en réseau, un parc.
Ce dernier possède également son propre journal, le Petit Mesa.
Le Complexe 04 collabore étroitement avec les autorités locales afin de garantir la sécurité des environs. Un équipe spécial du SDIS 84 et de la gendarmerie de Roussillon leurs sont dédiés spécialement.
La devise est : « Audace, Rigueur et Résilience »
¶ Taille du complexe
L’étendue du centre de recherche reste relativement grand. La majorité du centre est souterrain. Le complexe est depuis peu autonome, en effet, malgré que ce derniers possède ses propres systèmes de ventilation, plomberie et eaux usées dès sa construction, sa génération d’électricité n'était pas encore installé, le site était donc relié au réseau EDF, ce n'est que lorsque plusieurs scientifiques et la maintenance du complexe ce sont penché sur le sujet après plusieurs coupures générales, que ce dernier à pu ce doter de son propre système de génération d'électricité, ce rendant totalement indépendant énergétiquement.
Le centre est rempli de toutes sortes de laboratoires et zones de tests, dont la plupart contiennent des équipements à la pointe de la technologie. Le complexe possède également un parking sécurisé, un héliport, un réseau interne de transport de matériel par acheminement humain, et même son propre site de lancement aéronautique.
¶ Employés
Le centre est peuplé par quatre principaux groupes d’employés : l’équipe scientifique, le département de sécurité, le département technique et logistique ainsi que le département administratif. On peut également y ajouter d’autres catégories d’habitants, telles que le personnel informatique ainsi que les visiteurs, comme les investisseurs, les services d'états.
- Le département scientifique, qui conduit les expériences semble être recrutée largement chez les concurrents ou dans les universités locales. Les scientifiques sont habillés de chemises bleues, des pantalons blancs des blouses blanches, et des cravates.
- Le département de sécurité est constitué de gardes de sécurité habillés en bleu et équipés de casques en métal, d’armures en kevlar et de pistolets, recruté de préférence après un séjour à l'armée, police ou pompier.
- Le département technique et logistique est constitué de technicien et d’ingénieur habillés en combinaison jaune à rayures orange et un casque blanc (Construction Worker).
- Le département administratif est habituellement constitué de technocrate sortie de différente école d'administration et de gestion, comportant plusieurs services comme archiviste, direction, ressources humaines.
Tout le personnel du centre est équipé d’une carte d’identification (RFID), que le personnel doit avoir sur soit en permanence. Leurs empreintes biométrique y est inscrite, ainsi que leurs rétines pour les secteurs plus complexe.
¶ Principaux lieux
| Secteur | Nom | Description | Images |
|---|---|---|---|
| A | Entrée du complexe |
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| A | Parking du complexe |
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| B | Hall et accès à l'administration |
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| B | Rez-de-Chaussée |
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| B | Vestiaire spécialisé |
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| C | Laboratoires |
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| D | Secteur électrique et traitement des déchets |
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¶ Histoire
¶ D'un projet...
L'idée de la construction du complexe 04 commence au début de l'année 1992, lorsque le Site 05 fut finalisé, la construction débutera en fin 92 et durera environ 1 an et demi, finalisé en 1994 pour une ouverture la même année. Une fois la construction terminée, les premiers employés ont pu arriver dans le complexe afin de débuter ou poursuivre leurs recherches. La création de l'ASM est l'élément le plus marquant de l'année 1994, avec à sa tête le Professeur Arner. Le complexe 04 à vécu des jours sombre lors de la fin d'année 1995-début 1996 lorsque sa gestion catastrophique l'a entraîner dans une spirale de dépense sans précédent et de détournement de fond. Le procès du directeur Henri Briard, gestionnaire des comptes du complexe, à eu lieu en 1997, peu de temps après la fermeture administrative du complexe.
Les archives de son arrestation et du procès sont visible grâce à l'INA encore aujourd'hui.
¶ ...à un centre de recherche scientifique renommé.
L'honneur lavé et les caisses renfloué par Black Mesa France, ces derniers place l'ancien commandant de la sécurité et par la suite consultant en matière de sécurité pour Black Mesa France, Dyncker Glosworth, à la tête du complexe. La gestion de ce dernier ne fut pas sans y redire, néanmoins, le complexe de manquer pas d'argent. Par la suite, une succession de personnalité interne au complexe on aider le centre à ce lever à la place de premier centre de recherche européen, devant le CERN, notamment grâce à la création de l'HAPAM.
¶ Le service d'information
Différente campagne de d'information ou de sensibilisation sont visible au sein du complexe 04, en voici quelques exemples notables.
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Les affiches du complexe 04 |
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Récapitulatif global des budgets (1994-1998)
| Année | Scientifiques (M₣) | Administration (M₣) | Maintenance (M₣) | Sécurité (M₣) | Total annuel (M₣) |
|---|---|---|---|---|---|
| 1994 | 32 | 12 | 18 | 15 | 77 |
| 1995 | 50 | 18 | 24 | 28 | 113 |
| 1996 | 52 | 22 | 32 | 26 | 121 |
| 1997 | 58 | 24 | 28 | 30 | 138 |
| 1998 | 33 | 16 | 30 | 22 | 91 |
¶ Analyse transversale (1994-1998)
¶ Période 1994-1995 : Mise en place et montée en charge
- Scientifiques et Maintenance concentrent la majorité des moyens pour démarrer les laboratoires et assurer la stabilité technique.
- Sécurité et Administration suivent une logique de structuration de base, avec des effectifs encore limités.
¶ Période 1996-1997 : Expansion et crise
- 1996 marque un pic budgétaire pour tous les départements, avec un effort massif de confinement et de sécurisation.
- 1997 est l’année la plus coûteuse :
- Grèves de maintenance et incidents internes → explosion des coûts de Sécurité & Maintenance.
- Administration absorbe les frais liés à la réorganisation post-crise.
- Scientifiques continuent leur modernisation malgré le contexte.
¶ 1998 : Rationalisation et consolidation
- Retour à un budget globalement réduit après la crise.
- Scientifiques voient une forte baisse (33 M₣ vs 58 M₣ en 1997), conséquence d’un recentrage sur les priorités stratégiques.
- Administration et Sécurité se stabilisent, avec des dépenses modérées.
- Maintenance revient à un niveau intermédiaire après son pic de 1997.
¶ Tendances sectorielles globales
- Scientifiques : cycle fort → montée en puissance rapide (1994-1997) puis réajustement (1998).
- Administration : croissance maîtrisée, mais absorbant les coûts de transition lors des crises.
- Maintenance : secteur clé lors des incidents → budgets explosifs en 1996-1997, puis repli.
- Sécurité : montée progressive jusqu’en 1997, avec un rôle central lors de la crise, puis stabilisation.